Le sixième sommeil (Littérature)

Good french book, i love this writer. Very interesting and captuvating

Une approche intéressante des mécanismes du sommeil et de la part du rêve dans celui-ci. Thème qui se rapproche d'ailleurs des états modifiés de conscience sur lesquels je m'étais penché il y a quelques années sur la base d'études scientifiques portant sur les pratiques chamaniques.J'ai beaucoup apprécié les personnages et caractères brossés par Bernard WERBER même si pour moi, il n'égaleront jamais ceux des "thanatonautes", oeuvre que je considère comme majeure chez cet auteur.Certes certains points du récit peuvent paraître excessifs mais ils n'en altèrent pas pour autant son intérêt et le caractère haletant de certaines de ses parties. Aucun moment d'ennui ou de lassitude dans cette oeuvre sise entre étude scientifique et science fiction. Bref un excellent moment de lecture.

De B. Werber, je me souviens avoir été distraite par "Les fourmis" ou "l'Ultime secret". Je cherhais une lecture légère.Sauf que je me suis tout de suite ennuyée ferme : scènes et dialogues bâclés, style peu imaginatif et ennuyeux, plat, peu de profondeur en général.J’ai poursuivi pendant le rêve du héros où il rencontre son double du futur qui lui demande d’agir pour sauver un personnage (l’auteur ne semble pas être au courant des paradoxes des voyages dans le temps, poncif dépassé depuis longtemps dans les livres de science-fiction), j’ai poursuivi jusqu’à son voyage en Malaisie.J’ai supporté nombre d’approximations scientifiques (quand ce ne sont pas des âneries pures et simples, comme quand l’une des protagonistes qui narre un rêve, dans lequel sa belle mère ayant subi un avortement lui montre un… foetus entier! Le héros est médecin, notez le!!!! J’étais déjà consternée. L’auteur n’a même pas pris la peine de se documenter)L’écriture et le style, Werber ne semble pas s’en soucier. Il faudrait au moins lui offrir un dictionnaire étymologique afin qu’il enrichisse un peu son vocabulaire. Les descriptions sont vraiment pauvres et convenues. Qu’est ce que c’est lassant. Un écrivain est fait pour…. écrire! Pas seulement enfiler des scènes les unes derrière les autres!Enfin, à la scène insoutenable (et gratuite: cela n’ajoute rien à l’intrigue) dans le restaurant malaisien, j’ai carrément classé le livre dans la « round filing basket » comprenez: dans les déchets recyclables!On sait très bien que la culture asiatique permet de traiter les animaux de façon atroce (on en paie le prix actuellement, à cause de ces pauvres pangolins sacrifiés sur l’autel des traditions culinaires et d’une pharmacopée chinoise imbécile). Est-il vraiment indispensable de décrire ces pratiques dans le détail (là ce sont des petits singes, je vous passe la description de la scène), avec force détails sur les cris et la détresse absolue des pauvres animaux? Non. Cela ne sert qu’à dégoûter le lecteur, car, je le répète, l’histoire n’a rien à voir. Je n’aime pas la complaisance vis à vis de ce type de pratique ignoble.J’ai plein de bons livres et romans à lire,📚je ne vais pas perdre mon temps avec de telles inepties. En plus ça me fera une place dans ma bibliothèque. Je regrette les quelques euros que j’ai dépensés pour ce livre d’occasion.Moi qui croyait me divertir, c’est raté. Plus jamais je n’achète ce genre de livres « lecture facile  pour ne pas se prendre la tête»! J’ai chaque fois été déçue (puis Werber, s’il avait eu une étincelle d’inventivité avec « Les fourmis » par exemple, l’étincelle s’est éteinte comme bougie au vent).Là je commence une nouvelle lecture, une valeur sûre : Richard Powers: « L’arbre monde ». J’avais déjà adoré « The echo makers » (La Chambre des Echos)Franchement un conseil: passez votre chemin!

Un récit sans le moindre intérêt, où l'auteur effleure son sujet comme un aveu d'ignorance, effleure ses personnages dont la profondeur psychologique est celle d'une feuille de papier, et effleure une histoire qui n'en est pas une. Werber semble hésiter entre le traité de vulgarisation scientifique complètement raté, le thriller policier avec la disparition d'une mère dont tout le monde se fout, le film d'action avec ces scènes de guérilla en Malaisie qui sombrent dans le ridicule et l'initiation spirituelle tout droit sortie d'un emballage de Carambar. Bref, on s'ennuie à mourir dans une espèce de récit séquentiel digne d'un enfant de 4 ans et ce n'est pas le style littéraire, sujet / verbe / complément plus que sommaire, qui nous réveillera. Au fond c'est peut-être ça, le sixième sommeil ...

Le deuxième livre de Bernard Weber que je lis. Le premier étant les fourmis que d'ailleurs j'ai guère fini et aimé. Le sixième sommeil étant beaucoup mieux facile à lire et vraiment intéressant. Le début est un peu ennuyeux mes commence à être bon a partir du chapitre 23 je crois mais entre temps l'auteur vous fait apprendre de vrais faits sur les rêve qui sont vraiment intriguant et qui vous faire penser que sont les rêves en réalité... Un bon livre de science-fiction!

J'ai été très déçue par ce livre. J'avais adoré les Thanatonautes et l'empire des anges. Ici rien de comparable, je n'ai pas du tout été "embarquée" par l'histoire, j'ai peiné à terminer le livre. Les personnages n'ont pas de relief, rêver semble soudain très compliqué, voire une affaire d'initiés.

Bernard Werber est sans aucun doute possible un génie. Son livre est absolument remarquable. D'une écriture facile à lire il nous explique simplement les études sur le rêve et surtout le rêve lucide sans jamais ennuyer mais toujours avec une grande maitrise du sujet et de l'humour ce qui ne gâche rien. Dans ce roman passionnant nous apprenons tout en nous distrayant. C'est vraiment un GRAND livre écrit par un très Grand auteur certainement un des meilleurs. Évidemment je le recommande vivement et chaleureusement. Merci Mr Werber.

Un livre fourre tout où on aligne tous les sujets à la mode, histoire de ratisser large. Le niveau des "informations" qu'on espère y trouver est celui de Wikipédia, tout juste de la vulgarisation. Même l'aspect "roman" est de piètre qualité. Ne vaut vraiment pas le prix !

Il y a plusieurs sortes de livres. J’affectionne particulièrement ceux qui vont au-delà des apparences (ésotérisme) et qui permettent d’être plus intelligent à la fin de leur lecture. J’ajoute que même si vous n’êtes pas un « fan » d’ésotérisme l’histoire et passionnante. Merci à Bernard WERBER

Comme tous les livres de M. WERBER j'ai adoré celui-là. Ce roman est captivant, palpitant avec beaucoup d'émotions. On apprend en plus beaucoup de choses sur le sommeil. Ce livre m'a fait rêver... mais je n'ai pas encore réussi à atteindre le 6è sommeil !!!!!

Je découvre enfin Bernard Werber avec la lecture de ce roman, Le Sixième Sommeil, lequel m'a inculqué le goût d'écrire quelques petites histoires de mon crû. Quelle force d'écriture et quelle finesse à nous faire oublier que nous nageons dans la fiction ! L'extraordinaire réalisme que j'ai ressenti à la lecture de ce livre m'a fasciné. Bravo et merci Bernard Werber !

Le trame de cet ouvrage autour du sommeil et son mécanisme est une très bonne idée et aurait pu donner un résultat excellent, à mes yeux...malheureusement j'ai eu l'impression que l'auteur avait du mal à créer un lien entre les différents scénarios : une mère somnambule, qui disparaît, puis meure pour après réapparaître...l'histoire manque de fluidité. J'ai apprécié les informations sur le sommeil qui semblent être le fruit d'une bonne recherche. Dommage.

les personnages sont sympathiques et le roman agréable. Les neurosciences nous font découvrir de plus en plus le cerveau. Ici, il est question d'exploiter des possibilités étonnantes. J'ai aimé ce livre comme tous ceux de Bernard Werber

Libro molto bello, appassionante ed interessante. Il libro è in lingua originale ed è una trama originale. Autore molto letto in Francia. Consiglio.

Bon livre avec comme d'habitude un sujet très bien traité, il n'arrive pas pour moi à la hauteur de la trilogie des thanatonautes mais il est très bien ficelé

Werber et ces aventures sont toujours autant magiques et nous emportent dans ses histoires.Perso j'adore !Le 6ème sommeil m'a transportée comme tous ses livres. Merci à lui...